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The Supernaturalist d'Eoin COLFER

Genre : Littérature jeunesse

 

Titre VF : Le Supernaturaliste

 

Quatrième de couverture :

Satellite City, la cité du troisième millénaire. Un rêve pensez-vous ? Non, un véritable cauchemar pour la plupart de ses habitants. Prenez Cosmo, 14 ans, qui n'a jamais rien connu d'autre qu'un orphelinat dont les pensionnaires sont utilisés comme cobayes. Mais il se passe des choses plus terrifiantes encore dans cette sombre mégapole. Des créatures invisibles rôdent, des parasites se nourrissant de l'énergie vitale des humains. De rares personnes possèdent cependant la faculté de les voir : les Supernaturalistes. Lorsqu'à la suite d'un terrible accident, Cosmo hérite à son tour de ce pouvoir, il est loin de se douter que les puissants dirigeants de la ville s'intéressent de très près à ses nouveaux amis. Et qu'il n'est pas vraiment conseillé de contrarier leurs plans... Retrouvez le talent unique du créateur d'Artemis Fowl dans cette histoire futuriste et fantaisiste.

 

Ce que j'en ai pensé :

Je l’ai lu en anglais et très sincèrement, à part les termes techniques, spécialisés utilisés notamment pour décrire cette ville futuriste ou les gadgets des héros, il se lit très facilement. Les termes utilisés sont simples, littérature jeunesse oblige.

A la lecture de la quatrième de couverture, j’ai eu un peu peur, justement à cause de cet aspect futuriste, un brin SF mais comme il s’agissait d’Eoin COLFER, je l’ai pris quand même et je ne regrette pas car j’ai beaucoup aimé. On s’attache tout de suite à Cosmo, un orphelin placé dans un institut aux méthodes peu orthodoxes, Clarissa Frayne, lequel teste des produits non encore sur le marché sur ses pensionnaires « non sponsorisés ». C’est pire qu’une prison ! Heureusement, il va rencontrer les Supernaturalistes et en devenir un lui aussi. Il est très courageux, très intelligent et découvre la vie à l’extérieur de l’institut, ce qui le rend encore plus attachant je trouve ! A ses côtés, Stefan Bashkir, le leader du groupe, un peu froid mais qui prend très vite Cosmo sous son aile et agit un peu comme le « papa » du groupe, Ditto, un bébé Bartoli (son corps est celui d’un bébé mais pas son développement mental qui se fait de manière normale) est le médecin de la bande, il refuse de tuer les créatures appelés Parasites et qui absorbent le fluide vital des personnes blessés ou sur le point de mourir et enfin, Mona représente la touche féminine (même si elle est un vrai garçon manqué), fonceuse et débrouillarde, elle répare tout ce qui traîne. Tout cela dans une ambiance assez noire, nauséabonde (la pollution est telle que les habitants n’ont jamais vu le bleu du ciel mais une espèce de brouillard plane en permanence sur la ville et change de couleur en fonction de l’air plus ou moins pollué, les avocats ne sont plus ce qu’ils étaient, tout est contrôlé par Satellite et autres petites réjouissances dans le genre). Le récit ne manque pas d’action ni de bons sentiments. On va de péripéties en péripéties, scotché aux pas des Supernaturalistes. Je n’ai rien vu venir mais là je ne sais pas si c’est parce que je l’ai lu en anglais et étais donc plus concentrée sur les mots… Une lecture très agréable, que je relirai avec plaisir en français pour me faire une idée plus précise !

 

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